Le test de paternité peut être demandé par un présumé père si celui-ci a des doutes sur la filiation de son présumé enfant. Mais ce dernier peut également faire une demande de test de paternité. Le test de paternité peut aussi être demandé dans diverses circonstances.
Test de paternité avant la naissance d’un enfant
Il y a encore quelques années, un père ou une mère ne pouvait demander la réalisation d’un test de paternité qu’après la naissance du bébé. De nos jours, il est possible de réaliser cette procédure avant même que l’enfant ne soit né. On fera dans ce cas un prélèvement d’ADN sur le fœtus en procédant par la technique dite d’amniocentèse. Cette technique peut cependant présenter des risques. Alors, les laboratoires de test de paternité comme https://www.vaterschaftstest-dna.com/ proposent maintenant un test sanguin pour découvrir la paternité du bébé. La prise de sang sur le fœtus peut se faire dès 8 semaines.
Test de paternité après le décès d’un présumé parent ou enfant
Le test d’ADN post-mortem est une procédure qui doit être précédée d’un accord judiciaire. Sans cet accord, l’on ne peut pas prélever de l’ADN sur le corps d’un défunt. Il est également important que de son vivant, le défunt ait donné son accord sur l’utilisation de ses données biologiques. Autrement, il est impossible de réaliser le test de paternité post-mortem même avec le consentement de la famille du défunt.
Test de paternité sans les participants
Il s’agit d’un test où le père présumé ou l’enfant est porté disparu ou ne consent pas à faire le test. On parlera alors de test de fidélité qui peut se faire dans un cadre purement privé et sans le consentement des intéressés. Dans ce cas, la prise d’ADN se fera sur des échantillons non conventionnels. Les résultats de ce test de paternité ne seront pas considérés comme légaux. On ne pourra les utiliser que dans un cadre purement informatif.
Test de paternité pour prendre ses responsabilités de père
Le test de paternité peut également se faire dans un cadre légal. Dans ce cas, la demande peut être faite par un juge afin de connaître la filiation de deux personnes, mais aussi pour obliger un père présumé à prendre ses responsabilités envers l’enfant si les résultats du test s’avèrent positifs. Le test doit toutefois se faire avec le consentement du père et de l’enfant présumé avant d’être valide.
