En ces temps de crise sanitaire qui touche tous les pays du monde, le port d’un masque est devenu une nécessité pour se protéger et pour préserver notre entourage contre la propagation de diverses maladies. Il existe plusieurs types de masques sur le marché et leur utilité varie en fonction de leur nature.
Comment choisir entre un masque anti-projection et un masque de protection ?
Le coronavirus se transmet principalement de deux façons. D’une part, il se transmet par un contact physique direct notamment par les mains. D’autre part, il y a la contamination par les fluides corporels. Le masque anti-projection, aussi appelé masque chirurgical sert exclusivement à piéger les postillons de celui qui le porte. Ce type de masque est recommandé pour les malades symptomatiques afin de limiter la propagation du virus et autres bactéries par voie aérienne. Les masques de protection (FFP2 ou FFP3) se distinguent par leur propriété extrêmement filtrante. Si on les utilise dans le respect des conditions qui s’imposent, ces masques sont les plus efficaces face au SRAS-COV-2. Pour finir, il y a les masques en tissus qui ne servent pas vraiment à grand-chose, mais qui fournissent tout de même une barrière de protection minimale.
Choisir un masque de protection respiratoire
L’utilisation d’un masque de protection respiratoire est indispensable si vous côtoyez régulièrement un environnement toxique. Poussière, fumée, cendre, gaz, vapeur, virus et toute autre substance nocive, chaque masque de protection respiratoire a un usage propre à ses fonctions. Qu’il soit jetable, intégral ou semi-intégral, tous les masques de protection respiratoires doivent répondre aux exigences de la directive européenne. Vous trouverez sur le marché une large gamme de masques aussi performante les unes que les autres. Pour vous aider à choisir le type de masque qui vous correspond le mieux, posez-vous ces quelques questions. Premièrement, renseignez-vous sur le taux d’oxygène dans votre espace de travail. Ensuite, demandez-vous si vous avez connaissance du contaminant. Si oui, dites-vous si ce dernier est odorant ou inodore. Pour finir, est-ce que le travail se passe en plein air ou plutôt dans un endroit confiné ? Si vous arrivez à répondre à toutes ces questions, vous saurez exactement le type de masque qu’il vous faut.
