La concentration en THCPO dans différents produits

Cette concentration est exprimée en pourcentage. Par exemple, THCPO 20 % est un produit qui contient 20 % de fleurs THCPO.. Autrement dit, sur 100 mg de produit, 20 mg seraient du THCPO pur.

Autre exemple, THCPO 9 % indique un produit avec une concentration de 9 % en THCPO. Ce produit est moins puissant que celui à 20 %, mais toujours capable de produire des effets psychoactifs importants.

Dernier exemple, THCPO 15 % indique que le produit contient 15 % de THCPO en poids : dans 100 grammes de ce produit, il y a 15 grammes de THCPO. Cette information est fondamentale pour les consommateurs, car elle les aide à doser correctement le produit et, ainsi, d’éviter un surdosage.

Les mythes sur les fleurs THCPO

Certains prétendent que ces fleurs pourraient avoir des propriétés analgésiques, anti-inflammatoires, anti-nauséeuses ou relaxantes. Cependant, aucune étude sérieuse n’a démontré l’efficacité et la sécurité de ces fleurs à des fins médicales. Par ailleurs, certains utilisateurs recherchent dans ces fleurs une expérience psychédélique plus intense que celle procurée par le cannabis classique. Mais ses effets hallucinogènes sont imprévisibles et peuvent virer au cauchemar.

Ce cannabinoïde de synthèse qu’est le THCPO est souvent présenté comme une version améliorée du THC, avec des effets plus intenses et plus durables. Mais cette puissance n’est pas nécessairement un avantage, car elle augmente aussi les risques de surdose, de bad trip et de dépendance. Dans le même ordre, parce qu’il s’utilise souvent en petites quantités et ne dégage pas l’odeur caractéristique du cannabis, le produit est parfois vu comme une drogue discrète. C’est en fait un danger supplémentaire, car cette discrétion favorise une consommation n’importe où, n’importe quand.

Les bienfaits des fleurs THCPO

Les effets pharmacologiques de base de ce cannabinoïde de synthèse qui ont été identifiés jusqu’à présent sont principalement liés à son action sur le système endocannabinoïde de l’organisme. Celle-ci est similaire à celle du THC naturel, mais potentiellement plus puissante. Le produit agit sur les récepteurs CB1 du système nerveux central, provoquant des altérations de la perception, de l’humeur et de la cognition. Cela se traduit par une euphorie, mais également une impression de relaxation. Il peut aussi agir sur les récepteurs CB2 présents dans diverses parties du corps, entraînant des effets physiques. Voici une liste de ces derniers en fonction des tissus et organes du corps concerné.

Système cardiovasculaire

• Augmentation de la fréquence cardiaque (tachycardie) : pourrait aider à maintenir un débit cardiaque adéquat en cas d’hypotension sévère ou de choc.
• Diminution de la pression artérielle (hypotension) : soulagement des symptômes de l’hypertension artérielle et réduction du risque de complications cardiovasculaires.
• Dilatation des vaisseaux sanguins (vasodilatation) : amélioration de la circulation sanguine dans les membres (dans certaines maladies vasculaires) et prévention des dommages tissulaires en cas d’ischémie.

Système respiratoire

La dilatation des bronches (bronchodilatation) peut provoquer un soulagement des symptômes de l’asthme et d’autres maladies respiratoires obstructives.

Système digestif

• Diminution de la production de salive (bouche sèche) : pourraient réduire les écoulements salivaires excessifs (hypersalivation) dans certaines maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson.
• Augmentation de l’appétit : stimulation de l’appétit chez les patients cachectiques, ce qui pourrait aider à prévenir la dénutrition chez les patients atteints de cancer, de SIDA ou d’autres maladies cachectisantes.
• Ralentissement de la vidange gastrique : pourraient soulager les symptômes de reflux gastro-œsophagien ou de troubles fonctionnels intestinaux.
• Diminution de la motilité intestinale : soulagement des nausées et vomissements (chimiothérapie, troubles digestifs, etc.)

Système endocrinien

La perturbation de la régulation de la glycémie pourrait aider à stabiliser le taux de sucre dans le sang chez les personnes diabétiques.

Système immunitaire

La modulation de la réponse immunitaire (effets anti-inflammatoires et immunosuppresseurs) entraîne une réduction de l’inflammation dans les maladies auto-immunes et inflammatoires chroniques.

Système reproducteur

• Un soulagement des douleurs menstruelles (dysménorrhée) ;
• Une réduction des symptômes du syndrome prémenstruel ou de l’endométriose.

Système sensoriel

• Altération de la perception de la douleur (effet analgésique) : soulagement des douleurs chroniques (neuropathies, fibromyalgie, etc.) et les douleurs chroniques résistantes aux traitements conventionnels.
• Altération des perceptions sensorielles (toucher, goût, odorat) : amélioration de certains troubles sensoriels (hypersensibilité, synesthésie, etc.)

Peau et cheveux

• Augmentation de la production de sébum (peau grasse, acné) : pourrait aider à lutter contre la sécheresse cutanée dans certaines dermatoses.
• Réduction de l’inflammation cutanée.

Métabolisme

L’altération du métabolisme des lipides et des glucides peut entraîner une régulation du métabolisme lipidique, prévention de l’obésité, régulation du poids corporel.

Thermorégulation

La perturbation de la régulation de la température corporelle pourrait prévenir l’hypothermie dans certaines conditions extrêmes et les dommages tissulaires liés à la fièvre dans certaines infections graves.

Quels sont les vertus de la musicothérapie ?

Il existe différentes techniques de musicothérapie selon la population concernée. Cela peut impliquer le traitement de troubles psycho-émotionnels, de problèmes sociaux ou comportementaux, de troubles sensoriels, neurologiques ou physiques. Qu’elles soient mentales, physiques, émotionnelles ou spirituelles, les champs d’application pour maintenir et restaurer la santé sont très larges.
Cette thérapie favorise l’expression et la communication du patient par la médiation musicale et/ou sonore, y compris dans les enregistrements non verbaux. Par conséquent, elle a une réelle importance en tant que discipline médicale auxiliaire. Elle est particulièrement adaptée aux patients qui ont des problèmes à communiquer avec leurs thérapeutes ou leur entourage.

Concrètement, comment se déroule la séance ?

Comme pour tout traitement, le musicothérapeute évaluera le patient, ses besoins et ses objectifs. Puis il a expliqué la démarche de la séance, qui a duré 20 à 45 minutes en moyenne.
Ces exercices sont développés en fonction de la capacité du patient à comprendre, servir des instruments de musique, communiquer ou chanter. Il peut s’agir de chansons improvisées, de chants, de rythmes ou d’écoute de musique basée sur des programmes sonores conçus pour soulager la douleur physique ou exprimer des émotions.
Afin de s’adapter aux besoins du patient, le thérapeute propose une musique rythmée ou lente, et utilise un équipement pour filtrer le son ou modifier son amplitude.

Que dit la science sur la musicothérapie ?

Plusieurs études portent sur les vertus de la musicothérapie. Celle-ci recouvre plusieurs pathologies, telles que la sclérose en plaques, la mucoviscidose, la démence, les douleurs chroniques, la dépression, la schizophrénie, l’anxiété, la tolérance à la VNI (Ventilation Non Invasive), l’hypertension artérielle, les troubles autistiques, la migraine, l’insomnie ou le bien-être psychologique et physique des patients touchés de cancer. Les listes des indications sont très longues et peuvent être fournies en clinique.
Une revue de la littérature sur les effets de la musicothérapie en médecine générale a prouvé son efficacité dans le traitement de la douleur, des troubles du sommeil et de l’anxiété. Celle-ci détermine l’efficacité douteuse du traitement des troubles cognitifs et comportementaux chez les patients souffrant de dépression et de démence.

Le CBD pour améliorer la qualité de votre sommeil

L’insomnie peut aggraver les manifestations des maladies somatiques et psychiatriques, comme l’hypertension artérielle ou la dépression. Ce trouble chronique du sommeil peut aussi avoir des effets néfastes sur votre état en général : fatigue, perte de mémoire, manque de concentration, etc. Le cannabidiol est parfait pour lutter contre l’insomnie.

Quels sont les effets du CBD ? Il améliore la qualité du sommeil. Il favorise également la relaxation et l’endormissement. Il se décline sous plusieurs formes : bonbons ou gummies, comprimés ou gélule. Lorsque vous choisissez le produit qui vous convient, n’oubliez pas de vérifier sa concentration en CBD.

La mélatonine pour réguler le cycle circadien

Voici une autre substance efficace contre l’insomnie : la mélatonine. Elle intervient dans la régulation du cycle circadien. Ce dernier est l’horloge biologique de l’organisme. Il permet d’organiser les grandes fonctions du corps. La mélatonine vous permet de détecter l’alternance du jour et de la nuit. Elle aide l’organisme à déclencher les facteurs qui favorisent l’endormissement : réduction de la température corporelle, mise au repos de la digestion, etc. Elle est secrétée en quantité suffisante lorsque la nuit tombe.

Si cette production de mélatonine est faible, comment en apporter à l’organisme ? Sachez que vous pouvez trouver des compléments alimentaires contenant de la mélatonine en pharmacie. La plupart du temps, elle est mélangée avec un extrait de plante, comme la passiflore. Leur effet sédatif vous permet d’avoir un sommeil réparateur.

Bien évidemment, ces deux produits cités ci-dessus doivent être accompagnés d’une bonne hygiène de vie. Vous devez par exemple faire régulièrement des activités physiques et éviter la prise d’excitants, comme la nicotine, la caféine, l’alcool, lorsque la nuit tombe.

Se fier raisonnablement à ses habitudes

Ce qu’il faut savoir, c’est que le corps humain est incroyablement intelligent. Sans forcément vous en rendre compte, il fonctionne conformément à vos préférences, vos habitudes et votre mode de vie qu’il aura déjà enregistrés et assimilés à force de répétition et au fil du temps. Sa façon de réagir aux maladies dépend alors également de ces paramètres.

Être à l’écoute de son organisme

Il est très important d’être attentif à son corps, en particulier, lorsqu’il est en difficulté. Si vous vous sentez d’attaque pour lutter contre un petit rhume en allant courir, par exemple, ne vous privez pas, mais évitez tout de même les excès. Si au contraire, vous vous sentez trop affaibli par la maladie, ne vous obligez pas à faire des efforts même si vous êtes un grand sportif.

La règle de la ligne des épaules

Pour une personne « normale » qui n’a pas réellement de références particulières, ni en termes de sport ni en termes de sommeil, il existe une règle populaire qui est celle de la « ligne des épaules ». Le principe est simple : vous pouvez faire ou même expérimenter un sport si vos symptômes sont concentrés au-dessus de la ligne, c’est-à-dire au niveau du nez, de la gorge ou autre. S’ils sont concentrés au-dessous de celle-ci, optez sans hésiter pour le repos.

Le retour à la maison

Avant de partir pour l’hôpital, vous devez déjà prévoir le retour, autrement dit le trajet de l’hôpital à votre domicile. Pourquoi est-ce important ? Déjà pour vous-même, savoir exactement comment les choses vont se dérouler vous évitera le stress. En sachant à l’avance comment se passera votre retour chez vous, dans quelle voiture ou dans une ambulance, tel ou tel jour, vous apportera de la sérénité. Cela est particulièrement utile si vous habitez loin de l’hôpital. Les équipes de santé assurent un suivi régulier une fois que vous serez chez vous, ne vous inquiétez surtout pas à ce sujet. Néanmoins, organisez-vous de manière à ce que vous ne soyez pas seul/e de retour chez vous.

Les premiers jours chez vous

Vous devriez aussi anticiper les premiers jours à la maison. Concrètement, cela signifie remplir le frigo avant d’aller à l’hôpital, prévoir la garde de vos enfants le soir jusqu’à ce que votre conjoint soit rentré du travail, ranger les tapis pour éviter les chutes à vos petits, faire la lessive et le ménage, etc. Ce sont peut-être des détails mais des détails qui peuvent vous causer de l’anxiété ou du stress une fois que vous serez à l’hôpital, donc, à régler sans faute en amont. De plus, ce sont ces détails qui feront que votre retour chez vous se passera plus facilement.

Les possibles causes de ce syndrome

Le syndrome de Diogène est un trouble causé par un choc psychologique qu’un individu a subi. Il peut survenir après la perte d’un être cher et la non-acceptation de la situation. Le choc psychologique peut être un divorce, un licenciement, etc. Le trouble apparaît lorsque l’individu ne supporte pas le changement qu’il a vécu. Il est également possible qu’en cas d’isolement social, une personne finisse par être victime de ce trouble du comportement qui l’amène à dénigrer son hygiène de vie que ce soit au niveau de sa personne ou de son lieu de vie. Conséquence, l’individu va éparpiller ses affaires partout pour éviter que d’autres personnes entrent dans son petit cocon. Il évitera également de prendre soin de lui pour qu’on ne l’approche pas et faire fuir les autres.

Diagnostic du syndrome de Diogène

Selon le site spécialisé https://www.syndrome-diogene.fr, le syndrome de Diogène peut être difficile à diagnostiquer. En effet, certains professionnels qualifient ce trouble comme une pathologie, d’autres l’associent seulement à de la paresse. La difficulté du diagnostic concerne également le comportement de l’individu atteint de ce syndrome. Oui, il a tendance à se renfermer sur lui-même et à s’isoler. Il est donc rare que la personne constate d’elle-même son problème et demande de l’aide. Dans la plupart des cas, c’est l’entourage de l’individu qui contacte un professionnel (un médecin ou un psychologue) pour discuter du comportement atypique et du manque d’hygiène de la personne atteinte du syndrome de Diogène. Le psychologue ou le médecin traitant va alors procéder à des questionnements et à une analyse comportementale pour savoir si l’individu est vraiment atteint du syndrome de Diogène ou du syndrome du collectionneur. S’il est justifié que l’accumulation de détritus et l’éparpillement des affaires s’accompagnent de manque d’hygiène physique et que cela est permanent, le professionnel peut avancer qu’il s’agit bien de syndrome de Diogène. Il faut cependant noter que ce trouble peut être passif ou actif. Le syndrome de Diogène actif se perçoit lorsque l’individu reste malpropre de manière volontaire. Il est dit passif si la personne est dépressive et que l’accumulation d’affaires et le manque d’hygiène ne sont pas volontaires.

Comment le traiter ?

Pour traiter ce type de syndrome, l’individu doit être accompagné par un éducateur spécialisé ou un psychologue comportementaliste. Il est également possible de faire appel à un assistant social. Lors de cet accompagnement, on apprendra au patient à s’ouvrir et à se rapprocher des autres. Les assistants sociaux sont les professionnels les plus aptes à réaliser ce type d’accompagnement. Si le trouble a engendré des soucis d’hygiène et de santé, un médecin doit intervenir. Ce professionnel peut lui montrer comment retrouver une bonne hygiène de vie pour améliorer sa santé. Quant au psychologue, il aidera la personne à retrouver de l’ordre dans son quotidien.

Quelques vaccins pris en charge

Certains vaccins sont en effet pris en charge par l’assurance santé et la liste de ces vaccins est fixée par arrêté ministériel. Cela veut dire que si vous voulez bénéficier d’un remboursement de vos vaccins, il faut absolument que ce soit sur prescription médicale délivrée par votre médecin traitant. C’est seulement à cette condition que vous pourrez espérer 65 % de remboursement et ce, sur la base du prix sur la vignette. Les vaccins pris en charge sont ceux luttant contre les maladies ci-après : tétanos, diphtérie, coqueluche, oreillons, rougeole, varicelle, tuberculose, poliomyélite, hépatite B, infections à papillomavirus humains ou HPV, infections à haemophilus influenza B et infections à pneumocoques.

Que savoir sur les prises en charge de l’assurance ?

Le remboursement comprend aussi l’injection et sur la base suivante : à hauteur de 70 % si l’injection est effectuée par votre médecin traitant dans le cadre d’une consultation et à hauteur de 60 % si c’est une infirmière qui vous vaccine, sur la recommandation de votre médecin traitant. Si les vaccins que vous devez faire sont conseillés ou obligatoires pour le voyage à l’étranger que vous envisagez, que ce soit contre le choléra, la fièvre jaune ou la maladie de Lyme, ils ne seront pas remboursés par la Sécurité Sociale.

Comment choisir entre un masque anti-projection et un masque de protection ?

Le coronavirus se transmet principalement de deux façons. D’une part, il se transmet par un contact physique direct notamment par les mains. D’autre part, il y a la contamination par les fluides corporels. Le masque anti-projection, aussi appelé masque chirurgical sert exclusivement à piéger les postillons de celui qui le porte. Ce type de masque est recommandé pour les malades symptomatiques afin de limiter la propagation du virus et autres bactéries par voie aérienne. Les masques de protection (FFP2 ou FFP3) se distinguent par leur propriété extrêmement filtrante. Si on les utilise dans le respect des conditions qui s’imposent, ces masques sont les plus efficaces face au SRAS-COV-2. Pour finir, il y a les masques en tissus qui ne servent pas vraiment à grand-chose, mais qui fournissent tout de même une barrière de protection minimale.

Choisir un masque de protection respiratoire

L’utilisation d’un masque de protection respiratoire est indispensable si vous côtoyez régulièrement un environnement toxique. Poussière, fumée, cendre, gaz, vapeur, virus et toute autre substance nocive, chaque masque de protection respiratoire a un usage propre à ses fonctions. Qu’il soit jetable, intégral ou semi-intégral, tous les masques de protection respiratoires doivent répondre aux exigences de la directive européenne. Vous trouverez sur le marché une large gamme de masques aussi performante les unes que les autres. Pour vous aider à choisir le type de masque qui vous correspond le mieux, posez-vous ces quelques questions. Premièrement, renseignez-vous sur le taux d’oxygène dans votre espace de travail. Ensuite, demandez-vous si vous avez connaissance du contaminant. Si oui, dites-vous si ce dernier est odorant ou inodore. Pour finir, est-ce que le travail se passe en plein air ou plutôt dans un endroit confiné ? Si vous arrivez à répondre à toutes ces questions, vous saurez exactement le type de masque qu’il vous faut.

Test de paternité avant la naissance d’un enfant

Il y a encore quelques années, un père ou une mère ne pouvait demander la réalisation d’un test de paternité qu’après la naissance du bébé. De nos jours, il est possible de réaliser cette procédure avant même que l’enfant ne soit né. On fera dans ce cas un prélèvement d’ADN sur le fœtus en procédant par la technique dite d’amniocentèse. Cette technique peut cependant présenter des risques. Alors, les laboratoires de test de paternité comme https://www.vaterschaftstest-dna.com/ proposent maintenant un test sanguin pour découvrir la paternité du bébé. La prise de sang sur le fœtus peut se faire dès 8 semaines.

Test de paternité après le décès d’un présumé parent ou enfant

Le test d’ADN post-mortem est une procédure qui doit être précédée d’un accord judiciaire. Sans cet accord, l’on ne peut pas prélever de l’ADN sur le corps d’un défunt. Il est également important que de son vivant, le défunt ait donné son accord sur l’utilisation de ses données biologiques. Autrement, il est impossible de réaliser le test de paternité post-mortem même avec le consentement de la famille du défunt.

Test de paternité sans les participants

Il s’agit d’un test où le père présumé ou l’enfant est porté disparu ou ne consent pas à faire le test. On parlera alors de test de fidélité qui peut se faire dans un cadre purement privé et sans le consentement des intéressés. Dans ce cas, la prise d’ADN se fera sur des échantillons non conventionnels. Les résultats de ce test de paternité ne seront pas considérés comme légaux. On ne pourra les utiliser que dans un cadre purement informatif.

Test de paternité pour prendre ses responsabilités de père

Le test de paternité peut également se faire dans un cadre légal. Dans ce cas, la demande peut être faite par un juge afin de connaître la filiation de deux personnes, mais aussi pour obliger un père présumé à prendre ses responsabilités envers l’enfant si les résultats du test s’avèrent positifs. Le test doit toutefois se faire avec le consentement du père et de l’enfant présumé avant d’être valide.

Les manques physiques

Généralement, la dépendance dépend surtout d’un état de manque au tabac, dû à une dépendance physique incontrôlable. Le manque se manifeste par d’importants maux de tête, une dépression ; des troubles du sommeil, un état d’irritabilité. Les symptômes d’un état de manque peuvent varier d’une personne à l’autre. Cela peut réellement devenir insupportable et c’est ce qui empêchent les fumeurs d’atteindre leur objectif. Avec les patchs ou les gommes, il est possible de contrôler l’envie de fumer.

La peur de grossir

L’une des raisons qui poussent les fumeurs de continuer c’est l’envie de rester toujours mince. Selon eux, le tabac aide leur organisme à éliminer les graisses. Cependant, les experts en nutrition estiment qu’il ne s’agit que d’une idée reçue, car les personnes qui fument ont tendance à manger plus, ce qui indique qu’elles sont en état de manque physique. Généralement, les fumeurs sont d’importants grignoteurs, alors que les fringales sont connues pour faire grossir. Pour éviter de prendre du poids pendant le sevrage tabacologique, il est possible d’utiliser un substitut nicotinique qui aide l’organisme à contrôler contre les envies de grignotage. Il est également important de pratiquer une activité physique régulière pour permettre à l’organisme d’éliminer les toxines laissées par le tabac.

Une question d’habitude

Fumer est avant tout une question d’habitude, une sorte de rituels qui s’est établie au fil du temps et qui s’est intégrée dans les routines quotidiennes. Arrêter de fumer peut favoriser la dépendance comprotementale de la même manière que l’alcool et le café. Pour s’en débarrasser, certains experts préscrivent des traitements médicamenteux pour aider les fumeurs à repousser l’envie d’allumer une tige. Il est important de briser cette habitude pour faciliter le sevrage.

Un entourage fumeur

Le défi est d’autant plus important si le fumeur vit dans un environnement fumeurs. Si une personne est décidée à arrêter, la tentation sera toujours grande si les personnes qui l’entourent ne cessent encore de fumer. Arrêter de fumer constitue un réel défi qu’il devra relever. SI vous êtes en couple, vous devez prendre la décision ensemble pour que le sevrage soit moins dur. Si l’autre n’est pas encore prêt à arrêter, il faut convenirpur certaines règles pour permettre à l’autre de réussir son sevrage tabagique.

La peur de l’inconnu

Les grands fumeurs ont peur de l’inconnu. Ils évoquent les problèmes de stress qui leur contraint à continuer leur habitude. Le tabac est considéré comme un agent antistress, ce qui constitue généralement une idée reçue. Le stress évoque un état de manque physique, à cause de la baisse de la nicotine dans l’organisme. Encore incapable de lutter contre l’envie de fumer, il est soumis à un important niveau de strie qui le contraint à allumer une cigarette. Au début du sevrage, il faut utiliser différents tous les moyens disponibles pour minimiser le niveau de stress. Certains centres de sevrage proposent des groupes de gestion de stress qui permet aux fumeurs d’exposer leurs craintes et leur angoisse. D’autres proposent des séances de sophrologie et de relaxation pour favoriser la gestion de stress, ainsi que des séances d’autohypnose pour les apprendre à mieux se détendre.

Un problème génétique

L’addiction au tabac peut être de famille. Des généticiens ont identifié plus de 600 gènes responsables d’une dépendance à l’alcool et au tabac. Aucune règle ne régit l’addicition, mais selon les experts, le profil addictif d’un fumeur peut être déterminé par son profil génétique. De nombreuses études ont été réalisées pour mieux comprendre l’état d’addiction au tabac d’une personne. Les chercheurs de l’Institut Pasteur ont publié le résultat d’une étude qu’ils ont effectué dans la revue Current Biology. Ils ont conclu que plus de 35 % des Européens fumeurs qui rencontrent des difficultés dans le processus de sevrage ont un profil génétique addictif au tabac.