Les possibles causes de ce syndrome

Le syndrome de Diogène est un trouble causé par un choc psychologique qu’un individu a subi. Il peut survenir après la perte d’un être cher et la non-acceptation de la situation. Le choc psychologique peut être un divorce, un licenciement, etc. Le trouble apparaît lorsque l’individu ne supporte pas le changement qu’il a vécu. Il est également possible qu’en cas d’isolement social, une personne finisse par être victime de ce trouble du comportement qui l’amène à dénigrer son hygiène de vie que ce soit au niveau de sa personne ou de son lieu de vie. Conséquence, l’individu va éparpiller ses affaires partout pour éviter que d’autres personnes entrent dans son petit cocon. Il évitera également de prendre soin de lui pour qu’on ne l’approche pas et faire fuir les autres.

Diagnostic du syndrome de Diogène

Selon le site spécialisé https://www.syndrome-diogene.fr, le syndrome de Diogène peut être difficile à diagnostiquer. En effet, certains professionnels qualifient ce trouble comme une pathologie, d’autres l’associent seulement à de la paresse. La difficulté du diagnostic concerne également le comportement de l’individu atteint de ce syndrome. Oui, il a tendance à se renfermer sur lui-même et à s’isoler. Il est donc rare que la personne constate d’elle-même son problème et demande de l’aide. Dans la plupart des cas, c’est l’entourage de l’individu qui contacte un professionnel (un médecin ou un psychologue) pour discuter du comportement atypique et du manque d’hygiène de la personne atteinte du syndrome de Diogène. Le psychologue ou le médecin traitant va alors procéder à des questionnements et à une analyse comportementale pour savoir si l’individu est vraiment atteint du syndrome de Diogène ou du syndrome du collectionneur. S’il est justifié que l’accumulation de détritus et l’éparpillement des affaires s’accompagnent de manque d’hygiène physique et que cela est permanent, le professionnel peut avancer qu’il s’agit bien de syndrome de Diogène. Il faut cependant noter que ce trouble peut être passif ou actif. Le syndrome de Diogène actif se perçoit lorsque l’individu reste malpropre de manière volontaire. Il est dit passif si la personne est dépressive et que l’accumulation d’affaires et le manque d’hygiène ne sont pas volontaires.

Comment le traiter ?

Pour traiter ce type de syndrome, l’individu doit être accompagné par un éducateur spécialisé ou un psychologue comportementaliste. Il est également possible de faire appel à un assistant social. Lors de cet accompagnement, on apprendra au patient à s’ouvrir et à se rapprocher des autres. Les assistants sociaux sont les professionnels les plus aptes à réaliser ce type d’accompagnement. Si le trouble a engendré des soucis d’hygiène et de santé, un médecin doit intervenir. Ce professionnel peut lui montrer comment retrouver une bonne hygiène de vie pour améliorer sa santé. Quant au psychologue, il aidera la personne à retrouver de l’ordre dans son quotidien.

Prise en charge des frais de traitement médical dans le pays de destination

Dans ce cas précis, l’assureur prendra en compte, les charges occasionnées par les traitements médicaux à l’étranger pour les maux liés à la grossesse et à l’accouchement, survenus pendant le voyage ou le séjour à l’étranger en vertu de la délimitation précédemment proposés. Il peut aussi prendre en charge, les charges engendrées par le traitement dentaire et la réparation des dents artificiels à condition qu’ils soient expressément conseillés et pratiqués par les dentistes. L’assuré peut aussi demandé des compensations ou des remboursements sur les charges engagées par les traitements et les diagnostics spécialisés ou utilisation des matériels spécialisés comme la radiographie, le scanner la luminothérapie, etc. prescrits pas les médecins spécialistes. Il en sera de même pour les charges engagées par l’achat des médicaments et des bandages. Mais aussi, l’assureur devra indemniser les charges engagées pour d’autres traitements indiqués par les médecins comme les massages, les enveloppements musculaires, inhalations et l’achat des moyens auxiliaires nécessaires et utiles au traitement. Enfin, l’assureur prend en charge les frais nécessaires au traitement médical du nouveau-né dont les conditions sur le terme de couverture et la tarification du service médical sont indiquées sur le contrat.

Prise en charge de dépenses engagées pour d’autres prestations d’assistance maladie

La compagnie d’assurance s’occupe aussi de couvrir quelques dépenses liées à d’autres prestations comme les frais de voyage allé et retour d’une personne proche de l’assuré lorsque celle-ci est hospitalisée durant une période aussi longue. Cependant, cette situation devra être convenue dans le contrat et que l’assuré restera au lit d’hôpital jusqu’à l’arrivé de cette proche. Il en sera de même pour les dépenses engagées à l’achat et à l’envoi des médicaments prescrits par son médecin alors que l’assuré l’a perdu pendant le voyage ou pendant le séjour. Il faut évidemment, un accord du médecin de l’assuré ou du médecin de sa famille ainsi qu’une condition de remboursement du prix des médicaments s’ils n’entrent pas dans les obligations d’indemnisation. L’indemnisation peut aussi concerner les frais d’hôtel d’une période de séjour supplémentaire en raison d’une hospitalisation d’urgence de l’assuré. Le contrat peut contenir des conditions de couverture des frais d’hôtel d’autres personnes co-assurées qui accompagneront l’assuré. Et enfin, il prend en compte les charges dépensées suite à l’engagement d’un accompagnateur d’un enfant mineur lorsque celui-ci devrait être hospitalisé en raison d’un traitement stationnaire.

Qu’est-ce qu’un fibrome ?

D’ailleurs, ce sont ces hémorragies qui constituent la première cause d’anémie chez la femme. On ne sait pas encore avec exactitude l’origine de cette maladie qu’est le fibrome utérin. Mais il semble que les oestrogènes ont un rôle clé dans la mesure où ils favorisent la formation et le développement de fibromes. Ces oestrogènes stimulent aussi la prolifération de vaisseaux sanguins qui se fragilisent et se rompent facilement.

Les solutions standard en cas de fibrome utérin

C’est la chirurgie qui représente la solution classique du fibrome utérin jusqu’ici. Si les fibromes sont accessibles, l’ablation se fait par voie naturelle, mais autrement, c’est par ablation de l’utérus. Il y a aussi des solutions médicales dont la première est la réduction de la production ovarienne des oestrogènes, peu efficace, la seconde est d’utiliser des produits hormonaux puissants pour supprimer les saignements et diminuer le volume du fibrome. Et il y a une troisième alternative qui consiste en un traitement d’embolisation de l’artère utérine dans le but d’asphyxier les fibromes en les privant de sang, assez dangereuse.

Traitement du fibrome utérin sans inconvénients

On a découvert il y a quelques années des médicaments qui, par leur action, bloque les récepteurs du fibrome à la progestérone et qui s’avèrent particulièrement efficaces. L’UPA, pour acétate d’ulipristal, est ce qu’on appelle communément la pilule du lendemain et une seule prise quotidienne de UPA de 5 mg pendant 3 mois arrive à réduire de moitié le volume d’un fibrome. De plus, les saignements s’arrêtent dès la fin de la première semaine de prise. A l’heure actuelle, c’est le seul traitement le plus expéditif et le plus rapide pour traiter le fibrome utérin.

Y a-t-il des effets secondaires à ce traitement du fibrome ?

Jusqu’ici, il semble bien qu’il n’existe aucun effet secondaire à ce traitement, ni sur la pression artérielle, ni sur le cholestérol, ni sur la glycémie et n’induit aucun risque de phlébite. Même la production d’oestrogènes par les ovaires n’est pas perturbée. On remarque juste une légère modification d’allure de la muqueuse utérine. Cela ne devrait pas affoler les femmes qui prennent de l’UPA et d’ailleurs, ce léger changement disparaît dès l’arrêt de la thérapie. Mais ce traitement a pour but de préparer la patiente à une éventuelle chirurgie.

Soigner les infections respiratoires

Parmi les maladies les plus communes, on retrouve les différentes infections respiratoires. Elles sont dues à des microbes qui sont logés le long des voies respiratoires et dont les conséquences sont très désagréables. Les symptômes qu’on retrouve souvent sont les toux grasses et sèches, les difficultés à respirer et les bronchites. Heureusement, ce sont des maux qui ne durent pas très longtemps et qui sont traitables facilement.
Les plantes les plus utilisées au cours de ce traitement sont la lavande, le thym et l’ail. Il sont consommés sous forme d’infusion dont la prise est de deux tasses quotidiennes pendant 12 jours environ. On peut également utiliser les feuilles d’eucalyptus et de lierre, toujours à consommer en tisane.

Pour les infections cutanées

Il existe différents types d’infections cutanées telles que l’eczéma ou encore l’acné. Se manifestant par des douleurs et des démangeaisons, ces infections sont facilement traitées par phytothérapie. Il s’agit d’un traitement à base de plantes et de produits naturels sous forme de gouttes à diluer dans de l’eau.
Pour les traitements à appliquer directement sur la peau irritée, on préfèrera utiliser de la camomille, de l’avoine ou encore de l’amande douce. Ils soulageront les démangeaisons sur le court terme. Bien évidemment, ces traitements externes doivent être accompagnés d’antibiotiques pour éliminer les microbes en profondeur.

Les causes et les facteurs de risque des infections urinaires

L’infection urinaire est principalement due par les entérobactéries, dont l’Escherichia coli qui est la bactérie responsable de la maladie dans 80 % des cas.
En général, l’infection est liée à un manque d’eau, puisque l’organisme se défend naturellement contre elle par la vidange de la vessie. Chez les femmes, s’essuyer de l’arrière vers l’avant, la constipation et ne pas uriner après un rapport sexuel constituent également des facteurs de risque. Chez les hommes, ce sont généralement les rapports sexuels non protégés qui sont à l’ origine de l’infection urinaire.

Les symptômes de l’infection urinaire

Les signes peuvent être différents selon l’organe touché par la maladie :

• Les infections de la vessie, de l’urètre et de la prostate se traduisent, la plupart du temps, par un besoin fréquent d’uriner, ainsi que des brûlures durant les mictions. Une personne souffrant de prostatite peut également présenter des signes grippaux et une fièvre élevée.
• L’infection du rein ou pyélonéphrite peut se manifester par des frissons, une forte fièvre, jusqu’à l’altération de l’état général du malade.

Comment traiter les infections urinaires ?

Le traitement des infections urinaires est basé sur l’antibiothérapie, l’usage d’un antiseptique urinaire, le traitement des divers facteurs favorisants et la majoration des boissons.
La maladie commence par des infections urinaires basses (urétrite, cystite). Elle évolue vers une infection du rein si elle n’est pas traitée à temps. Elle peut, alors, se compliquer et provoquer un abcès rénal, voire la destruction du rein. Il est, ainsi, vivement conseillé de consulter un médecin dès que les premiers symptômes se manifestent (brûlure lors de la miction et un besoin anormal d’uriner).